Published September 24th, 2007
in La Culture.
Île sans fil à deux missions principales. La première est de développer un réseau de points d’accès à l’Internet sans fil gratuit sur Montréal. Il en existe actuellement plus de 135. La seconde est de favoriser le développement artistique et culturel local. Pour ce faire, l’organisation à but non lucratif met à disposition des artistes et communautés locales ses compétences et son infrastructure.
La fin de semaine du 29 et 30 septembre, après le succès du Top Challenge 2007 ISF pourra une nouvelle fois fusionner ses deux vocations autour d’un même événement. Le quartier Atwater de Montréal se verra animé d’un festival multiculturel à la sympathique dénomination “Tous ensemble !” (All together! pour les anglophones).
Présenté par la Corporation de promotion et de développement Lincoln-Tupper, le Festival “Tous ensemble !” célèbre la diversité de la population de l’ouest du centre-ville à travers la musique, l’artisanat et l’art culinaire qui font la richesse de ce quartier.
Des chants et des couleurs d’Afrique, d’Amérique, d’Asie et d’ailleurs devraient se mêler aux senteurs de cuisines exotiques, au milieu des ateliers de perlage et des danses acrobatiques de lions !
Les bénévoles d’île sans fil seront présents sur cet événement pour proposer gratuitement l’Internet sans fil et pour relayer l’information sur le Web. À cette occasion, HAL sera sortie de sa boite pour quelques teste grandeur nature. Pour les amateurs, une histoire sans fil devrait certainement voir le jour.
Published September 16th, 2007
in Histoire sans fil.
Le Top Challenge fut une belle réussite pour île sans fil et son équipe de bénévoles. Au pied du Mont-Royal, ils étaient une douzaine à arborer fièrement les couleurs blanc, vert et noir de l’organisation, avec une planche à roulettes sur la poitrine et une antenne dans le dos.
Les plus courageux sont venus à l’aube du premier jour pour installer les points d’accès sans fil. Sur les deux jours, une équipe “embeded” de blogueurs, photographes et vidéastes couvraient l’événement. Le millier de photos visible sur le compte Flickr d’ISF est là pour prouver l’étendue du travail réalisé.
Un grand merci doit être envoyé aux invités spéciaux qui ont couvert l’événement aux côtés de l’équipe d’ISF. Éric Baillargeon et Stephan Branson étaient armés de leur plus bel appareil et d’une batterie de carte-mémoire. À la vitesse de l’éclair, ils piégeaient les images des coureurs pour les transmettre tout aussi rapidement aux blogueurs qui diffusaient dans le même temps les photos sur le blogue d’ISF.
Le journaliste blogueur Dominic Arpin, DOA pour les intimes, s’est également joint à la gang d’ISF pour suivre les courses du Top Challenge. Le carnet Web des bénévoles s’est ainsi vu arpingler dans la matinée du dimanche. L’impact ne s’est pas fait attendre avec une audience quasi décuplée pour l’occasion.
En parallèle des photos et vidéos du Top Challenge, le blogue d’ISF proposait en quasi temps réel les résultats des courses de patins à roues alignées, Dirt Surf, luges de rue et Speedboard. Il y avait de l’adrénaline dans l’air, et la synergie entre le Top Challenge et île sans fil était aussi belle que ces jours ensoleillés de la fin août.
Les vidéoblogueurs d’ISF ne pouvaient passer à côté de l’événement sans capturer quelques impressions de ces sportifs de l’extrême Voici donc la vidéo d’une histoire sans fil au Top Challenge.
Published September 12th, 2007
in La Société and La Techno.
Depuis que le blogue existe, celui-ci doit faire face à une nuée de mèmes, aussi appelé taggage. Son ancêtre portait le nom de série de courrier électronique, qui devait certainement voir son origine dans une chaîne de l’amitié quelconque utilisait sur un bon vieux papier de cellulose.
Récemment, Vincent Abry a transféré au Québec le tag que lui avait envoyé le Chauffeur de Buzz, lui-même touché par Jean-Marie, l’auteur du buz en question. Ce mème offrait de partager “5 raisons pourquoi je blogue”, qui en bon français se traduirait par 5 raisons pour lesquelles je blogue.
L’initiative de TechnoMontréal d’ouvrir ses lignes à des auteurs externes a provoqué quelques questionnements sur le sujet. Les motivations des uns ont fait face aux réticences des autres. Pour enrichir le débat, voici 5 bonnes raisons pour ne pas bloguer sur TechnoMontréal :
1. Vous possédez déjà une excellente notoriété sur la blogosphère et ça vous suffit amplement. Il est vrai qu’avec un blogue bien établi, et la reconnaissance de ses paires, quel serait le bénéfice d’écrire sur un blogue moins achalandé. Pour les plus aventureux, il serait également possible de faire du cross-posting, un néologisme qui consiste à mettre en ligne son article sur deux blogues différents. Par exemple sur son blogue et sur celui de TechnoMontréal.
2. Vous ne voyez pas l’intérêt de donner du temps pour une cause communautaire. Il est déjà assez difficile de régler ses propres problèmes, ce n’est pas pour s’occuper de ceux de ses voisins. Vous avez raison, charité bien ordonnée commence par soit même.
3. Vous ne pensez pas que Montréal vaille le coup d’en faire la promotion. Montréal est une ville plaisante où il fait bon développer ses affaires. Ce serait dommage que d’autres découvrent ce petit paradis pour les entrepreneurs en technologies.
4. Vous êtes déjà grassement payé pour rédiger sur votre blogue, celui d’une entreprise ou mieux encore, celui d’un média, qu’il soit radiophonique, télévisuel ou de la presse. Comme le blogue de TechnoMontréal est un projet collectif, aucune rémunération n’est de mise.
5. Vous souffrez d’agoraphobie. Le médecin vous a conseillé d’éviter tous contacts, furent-ils même électroniques. Pour cette raison, vous faites uniquement des affaires par fax ou pagette. Il y a des choses à prendre au sérieux !
Connaissez-vous d’autres bonnes raisons de ne pas bloguer sur TechnoMontréal ? Si c’est le cas, l’espace pour les commentaires ci-dessous vous est entièrement dédié.
Published September 11th, 2007
in La Société and La Techno.
Du haut de ses 18 ans, l’Agence spatiale canadienne (ASC) est tout juste majeure et fait pourtant particulièrement parler d’elle ces derniers temps.
Le Canada ne possède évidemment pas son propre lanceur spatial. Pour s’approcher des corps célestes, les astronautes canadiens doivent passer par Cap Canaveral pour embarquer auprès de leurs collègues américains.
Avec une puissance 10 fois inférieure à l’Europe et aux États-Unis, le Canada est forcé de développer des coopérations internationales. Heureusement, la qualité de sa recherche permet au pays de collaborer sur des projets d’envergure, comme la mission hyperspectrale avec l’agence spatiale italienne
Au printemps 2008, la feuille d’érable canadienne devrait se poser sur Mars par l’intermédiaire du robot d’exploration Phoenix. Véritable station météorologique embarquée, Phoenix étudiera les conditions climatiques sur la planète rouge.
La NASA a annoncé son désir de retourner sur l’astre au Front d’ici 2018. D’une part, ce retour sur la Lune servira de base avancée pour coloniser le Système Solaire. D’autre part, les Américains sont motivés par le potentiel commercial des ressources naturelles du compagnon de la Terre. Le Canada réussira-t-il à trouver une place au côté de son sympathique voisin du sud ? Seul l’avenir nous le dira.
En attendant, les amateurs peuvent s’évader dans les étoiles en visitant le Cosmodôme de Laval, véritable parc d’attractions scientifique dédié à la conquête spatiale. Les plus jeunes peuvent partir à la rencontre de l’astronaute Julie Payette qui joue les modèles auprès des élèves de secondaire de Québec.
Published September 9th, 2007
in Yulblog - Yulbiz.
Une simple question se transforme parfois en véritable comédie. Les acteurs de cette vidéo sont loin d’être des professionnels. Ils n’arrivent pas à la hauteur des acteurs de Prenez garde aux chiens, mais ils mériteraient autant un Oscar que Forest Whitaker.
Pour cette rentrée bloguesque, le Kid était particulièrement en forme, alors que Carl oeuvrait pour obtenir le prix du meilleur second rôle, en compétition avec Josh et Pierre-Nick. La gent féminine a également fait bonne impression avec Christelle, Marie-Jo, et l’ineffable Debie.
De l’autre côté, une sérieuse concurrence aux Têtes à Claques arrive sur la toile avec la série Pop-Tarts jouait par Guillaume, Pierre, Francis, Alexis et Marc. Jouée dans le style film muet du début du siècle dernier, cette scène a vu le concours d’un branchement défaillant de micro
Nous ne pouvons terminer ces Jutras du Yulblog sans remercier les commanditaires avec le Fairmont Montebello, la gang de promo d’IWeb et Branchez-Vous. Pour ce dernier, Carl a par ailleurs reconnu le rôle primordial joué par Histoire de Geek et Ze Canada.
En passant, vous trouverez un indice dans cet article sur la prochaine proie de Branchez-Vous. Pour couper court à toute rumeur, après TonClip, Fanatique et Cent Papiers, Ze Canada peut vous assurer qu’il ne sera pas le prochain à passer sous la bannière jaune et bleue.
Published September 8th, 2007
in Yulblog - Yulbiz.
Bienvenue pour la rentrée des blogueurs. À vrai dire, la blogosphère québécoise n’avait pas fait de pause durant l’été, puisque juillet et août avaient hébergé un Yulblog. Le dernier était l’un des plus fainéants de l’histoire.
L’été s’étire sur le mois de septembre. Les températures sont encore agréables. Pourtant, les accros de la nicotine semblaient être les seuls à apprécier la terrasse le trottoir de La Quincillerie. La poutine de la Banquise avait peut-être eu raison de la digestion des Web carnetiers.
Pendant ce temps-là, la vidéo du Yublog récupérait les réactions à la double question du mois. Deux questions pour répondre à deux typologies de blogueurs. Les plus alertes devaient partager leur sentiment sur l’appréciation des blogues par les médias traditionnels. Les plus créatifs ont présenté leur couleur favorite.
Published September 7th, 2007
in La Techno.
Et voici que Vincent envoie sa son mème à Ze Canada, après l’avoir reçu du Chauffeur de Buzz. Un mème est une sorte de patate chaude du style “5 raisons pour lesquelles je blogue”.
S’il devait y avoir 5 bonnes raisons, ce serait celles-là :
1. Rédiger régulièrement des articles sur un blogue permet de maintenir un bon niveau d’écriture afin de ne pas limiter son vocabulaire au clavardage du style “Ke fé tu 2 bo ce w/e? G kk chose 4 U ”
2. Paradoxalement, bloguer seul devant son ordinateur permet de développer son réseau social, qu’il soit personnel ou professionnel. 10 mois de blogue sur Ze Canada ont permis à son auteur de rencontrer une centaine de personnes.
3. L’air de rien, bloguer est un excellent exercice intellectuel qui permet d’ordonner ses idées et de structurer sa réflexion (ça ne fonctionne que pour les blogues qui ont des articles avec plus de 50 mots dans chaque article).
4. Bloguer fait du bien à son moi. Les visiteurs, les abonnées, les références sur les autres blogues, dans les journaux, à la radio et à la TV sont là pour alimenter régulièrement l’égo.
5. Pourquoi trouver une 5e bonne raison ?
Pour répondre à la tradition du mème, voici 5 blogueurs qui viennent de se faire piéger :
* Amcalmant : depuis le temps que tu cherches une mauvaise excuse pour recommencer à bloguer. Voici la pire !
* Le Keeg : ça t’apprendra à reprendre nos conversations sur ton blogue.
* Marie-Jo : pour la sortir de ses livres de hacker.
* Brem : il va falloir enfin se rencontrerc
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